L'exercice "VIKING 08" s'est achevé ce vendredi et aura duré deux semaines. Chaque année depuis bientôt 10ans, les forces armées suédoises organisent cet exercice d'Etat-Major international consacré à la planification et la mise en place d'une opération de la promotion de la paix (Partnership for peace).
La Suisse participe pour la cinquième fois à cet exercice de simulation qui se veut particulièrement réaliste et nécessite une grande infrastructure. En effet, cette année, 125 officiers supérieurs et 2 sous-officiers supérieurs suisses y ont participé sur un total de 2000 militaires et civils (25 nations différentes) réparti sur 8 sites dans 7 pays (dont un à Lucerne). Le scénario portait sur un différend ayant pour cause la souveraineté de deux nationalités composant un Etat fictif et dont la situation serait proche de la guerre civile. La localisation géographique se situait en scandinavie.
L'objectif pour les militaire suisses était de "Maîtriser les processus de travail d’état-major qui sont exigés pour assurer l’interopérabilité dans les engagements de promotion de la paix, aux échelons des armes ou de la brigade" et d' "Améliorer les connaissances et les capacités des participants à l’exercice en prévision de leur participation, dans l’avenir, à des opérations de promotion de la paix ou de réaction à des situations de crise."
Ce n'est que dans quelques mois que sera publié le rapport de synthèse sur cet exercice.
La Suisse participe pour la cinquième fois à cet exercice de simulation qui se veut particulièrement réaliste et nécessite une grande infrastructure. En effet, cette année, 125 officiers supérieurs et 2 sous-officiers supérieurs suisses y ont participé sur un total de 2000 militaires et civils (25 nations différentes) réparti sur 8 sites dans 7 pays (dont un à Lucerne). Le scénario portait sur un différend ayant pour cause la souveraineté de deux nationalités composant un Etat fictif et dont la situation serait proche de la guerre civile. La localisation géographique se situait en scandinavie.
L'objectif pour les militaire suisses était de "Maîtriser les processus de travail d’état-major qui sont exigés pour assurer l’interopérabilité dans les engagements de promotion de la paix, aux échelons des armes ou de la brigade" et d' "Améliorer les connaissances et les capacités des participants à l’exercice en prévision de leur participation, dans l’avenir, à des opérations de promotion de la paix ou de réaction à des situations de crise."
Ce n'est que dans quelques mois que sera publié le rapport de synthèse sur cet exercice.
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